Chansons
Imprégné de la riche culture musicale du Québec, Georges Ouel flirte avec les classiques de la chanson tel un Brassens du 450. Sans s’imposer de limites, sa musique évoque à la fois une valse à l'ambiance western-spaghetti et un blues moderne à déguster cul-sec.
Si certains se rappellent du bon vieux temps où Ouel faisait partie de Tintamare et Chahut d’ruelle, ceux qui le connaissent comme semi-finaliste du Festival de la chanson de Granby et comme finaliste du Cabaret Festif! de la relève seront peut-être surpris d’apprendre que leur chanteur humoristiquement bout-en-train traîne un grand bagage rock-prog-punk tout en sachant que c'est la meilleure école pour développer son talent.
Ayant déjà un album dans la poche et plusieurs tournées à son actif, Georges Ouel s’apprête à dévoiler un tout nouveau long-jeu qui saura divertir à la fois les baby boomers et les générations X/Y/Z. « Le ciment des âges », c'est le constat du temps qui passe et qui fait son travail qu'on le veuille ou pas. C'est un coup d'œil vers l'arrière au-dessus d'une épaule qui ne voudrait pas vieillir. C'est le temps qui défile, c'est une poignée de main sincère qui s'accroche à ce qu'elle peut. C'est une louange qui chérie ce qui en valait la peine et c'est aussi l'échec qui voudrait bien rêver de liberté.
Nos intervalles se figent dans le ciment et les âges se confrontent dans l'ineptie, on dira ce qu'on voudra, l'important c'est l'amour.