Indie, Chansons
Au cours des quatre dernières années, l’auteure-compositrice-interprète, artiste-interprète et productrice canadienne bilingue primée Maïa Davies, mise en nomination aux Juno Awards et numéro 1 SOCAN dans sa catégorie, s’est lancée dans une mission de découverte de sa musique et donc de soi. Née à Montréal, elle a consacré la majeure partie de sa vie à la musique, faisant ses débuts au sein du groupe folk rock Ladies of the Canyon (Warner Music). Elle a également à sa fiche deux albums solos en français et a signé plus de 12 succès dans le top 10 des radios commerciales pour des artistes canadiens comme Mother Mother et Serena Ryder. En 2019, à la suite de la fin d’une relation intense, mais finalement troublée, elle a également quitté son rôle au sein d’une maison de production bien connue de Toronto pour se lancer, tête par-dessus pied, dans la vie nomade. Voyageant à travers le Canada, la Californie et l’Europe, elle a renoué avec des amis talentueux et a produit le genre de musique douloureusement honnête qui ne peut être générée que par une blessure si profonde qu’elle a besoin d’espace et de temps pour guérir. Elle a rassemblé des chansons introspectives en anglais pour son prochain album solo, qui sortira sur acronym/Universal. Avec ses compositions au piano qui rappellent instantanément et intentionnellement la musique pop baroque incandescente de Tori Amos et Kate Bush, Maïa fonce au moyen des motifs bien conçus, tempérant l’âpreté des paroles par des mélodies nostalgiques et des voix douces. Il en résulte un conte musical partagé avec empathie et composé avec cœur, à la fois confessionnel et perçant dans son intimité et sa portée.